Etat défectueux de l’avenue Janvier et l’avenue des Travailleurs

IMG_212Leur reconstruction contribuerait à rendre propre la ville

L’avenue Janvier et l’avenue des Travailleurs se trouvent au quartier  Rohero I, zone Rohero, commune Mukaza. Ces dernières sont aujourd’hui  dans un état  défectueux et nécessitent la réhabilitation. Cela est le constat de la rédaction du quotidien d’informations Le Renouveau lors de sa visite de ce quartier.

Les deux avenues ne laissent pas un passage facile aux passagers, aussi bien les piétons que les automobilistes. Le problème ne laisse pas derrière les conducteurs de vélos et des motos même si ces derniers ne sont pas fréquents. L’avenue des Travailleurs passe devant  l’ambassade de la République kenyane et relie la chaussé Prince Louis Rwagasore au boulevard du 28 Novembre  après avoir traversé l’avenue Muramvya. Les deux parties de cette avenue sont toutes dans un état déplorable. Par observation, on constate qu’elle a été goudronnée il y a longtemps, et que cette défectuosité résulte de sa vetusté. Parlant de cette première partie qui va de la chaussée Prince Louis Rwagasore à l’avenue Muramvya, des nids de poule et des cailloux  désordonnés gênent la circulation des véhicules. Le même cas se produit dans la deuxième partie de cette même avenue, entre l’avenue Muramvya  et le boulevard du 28 Novembre. Là aussi, des nids de poules en plus des cailloux résultants de l’ancien goudron y sont remarqués.

Quittons alors l’avenue des Travailleurs vers l’avenue Janvier qui, elle aussi, connaît ce problème de défectuosité. Celle-ci  passe entre le Jardin public et Garden hôtel et prolonge jusqu’à joindre l’avenue des Travailleurs après avoir traversé l’avenue d’Octobre.  Pour cette avenue, la partie se trouvant  entre l’avenue d’octobre et l’avenue des Travailleurs est la plus défectueuse. Là-bas, même le passage à pied n’est pas facile; des cailloux de grande taille qui avaient servi de goudron  sont gênants tant pour les véhicules que pour les piétons.  Seuls les véhicules des propriétaires des maisons construites le long de cette partie y passent encore, les autres  préfèrent passer loin plutôt que d’y passer.

Cet état défectueux desdites avenues  salit le quartier  en particulier et toute la ville en général.

Un appel est alors  lancé aux autorités compétentes pour la reconstruction de ces avenues; cela contribuerait à garder la propreté de la ville.

Eric Sabumukama, http://www.ppbdi.com

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